Vous savez, celle que vous aimez manoeuvrer allégrement pour la cuisson des pâtes par exemple ;-)…
Selon le prix de la montre (Seiko, Omega, Rolex…) on s’attend à ressentir une qualité accrue des sensations, en parallèle de la fonctionnalité; Du moins, JE m’y attends :-)…
Lorsque l’on achète une Seiko Diver’s 200, une SUMO… on achète une techno de type ressort métallique pour l’indexation mais aussi élastique par l’adoption d’un joint torique qui vient à la fois compenser les éventuels jeux d’usinage et rendre plus ferme, plus onctueuse la rotation.
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En préambule je voudrais vous présenter la gamme des divers formats de « Sub » ayant existé chez Tudor :
– La taille standard de 39,5 mm de diamètre mesurée sur la lunette. La mention Submariner figure sur le cadran.
– La taille dite mid-size ou medium size de 36,5 mm qui n’a existé que chez Tudor, jamais dans la gamme Rolex.
La réf 76000 objet de cette revue en fait partie, mais aussi les réf 75090 (bien connue sur le web) et 75190. La mention Submariner est aussi présente sur le cadran.
– La taille dite mini-sub de 33 mm de diamètre environ. La mention Submariner a disparu du cadran et ne figure que mini-sub.
– La taille dite lady sub de 26 mm environ.
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Je veux parler de la Rolex Sea-Dweller 4000.
Sortie initialement sous la forme de prototypes destinés aux plongeurs de la Comex en 1967 puis commercialisée en 1971, elle était dotée d’une valve à hélium permettant son utilisation en plongée profonde sur de longues durées avec décompression en caisson hyperbare. Les protos étaient étanches à 200 m, la première version commercialisée à 600 m, puis en 1980 son étanchéité fut portée à 1220 m (4000 fts).
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Le plaisir des montres mécaniques
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