Une montre météoritique qui vous envoie au fin fond de la galaxy et vous ramène à la science fiction des années 50’s où tout était possible, même la planète interdite !
Cette montre imaginée par David Rutten, possède un boîtier usiné dans une météorite métallique qui porte le nom de MUO NIO NALUSTA.
« Cette météorite, découverte en Suède en 1906, est issue du noyau d’un astéroïde qui gravitait entre Mars et Jupiter. Selon les études scientifiques elle a 4,5 milliards d’années, elle date donc de la naissance de notre système solaire et est la plus ancienne météorite métallique connue par l’homme. »
David Rutten revisite la montre à guichet des années 30, en laissant la place d’honneur à la météorite.
La Streamline conjugue ses 2 passions principales qui sont l’astronomie et l’horlogerie.
Le grand guichet affiche le temps grâce à une heure sautante pourvue de 5 jour de réserve de marche.
LE DESIGN RETRO-FUTURISTE STREAMLINE
« La montre est dotée de cannelures de haut en bas de sa surface, ce qui est une perpétuation du style streamline, découlant de l’Art Déco. On retrouvait fréquemment dans les publications de science fiction de l’époque cet artifice esthétique qui était supposé rendre les engins plus aérodynamique. »
« Plus pragmatiquement, le fond du boîtier et la couronne sont en titane poli, afin de diminuer les risques d’allergie et d’alléger l’ensemble (le poids total étant de 120 g). »
LE MOUVEMENT
« Calibre rond, il mesure 33.3mm soit 14 ¾ lignes, pour une épaisseur d’environ 8mm avec ses disques. Il est cadencé à 28800 a/h (4hz), pour 120 heures (5 jours) de réserve de marche (double barillet), ce qui vous permet de passer une semaine de travail sans remontage. Nous avons opté pour une décoration en « octaèdre » afin de rester dans le thème météoritique, et un traitement « Ruttenium » des ponts. »
« Notre système d’heure sautante, développé par notre partenaire, bénéficie d’une conception récente, le saut se fait sans embrayage préalable du disque d’heure et sans oscillations perceptibles. Et surtout, vous l’entendez sauter, ce qui vous fait une complication sonore en prime. »
La photo ci-dessus est celle d’un des 5 prototypes fabriqués.Le mouvement une fois fini.
Ceux qui en parlent :
Le site officiel de David Rutten où vous pouvez commander la montre: https://davidrutten.com
Les premières Omega Dynamic sortirent en 1968. Les pubs de l’époque insistaient sur la conception de la montre selon l’anatomie du poignet avec une forme elliptique de la boîte et une intégration du bracelet bien spécifique, un design révolutionnaire qui explique son incroyable succès commercial avec plus de 1 million de ventes !! le plus gros succès d’Omega à ce jour.
Je voulais vous présenter un petit chrono sans signature des années 40.
Aucune information de marque n’est disponible sur le cadran hormis le Swiss Made et un chiffre 8 présent sous le balancier. Ce chiffre pourrait faire penser à un calibre LANDERON 48 mais l’architecture ne correspond pas ainsi que la présence de 3 poussoirs au lieu de 2 sur le calibre 48.
Il s’agit d’un LANDERON 47, le 1er modèle SANS roue à colonnes qu’a conçu LANDERON entre 1937 et 1940.
Celle-ci est la version en 40 mm de diamètre avec cadran argenté guilloché, index, chiffres appliqués et aiguilles plaquées en or rose, équipée d’une glace acrylique comme sa petite soeur.
Pour ceux qui ne connaissent pas l’origine esthétique de ce chrono, il faut remonter aux années 50 avec un chrono pilote flyback, le Breguet Aéromarine qui exista en « bicompax » mais aussi en « tricompax » avec les registres en disposition 3-6-9…
La Datejust, tous ceux qui s’intéressent un peu à l’histoire des montres connaissent, ou presque…
Celle que je vous présente ici porte une référence à 6 chiffres 116200, dans le design actuel, avec un boîtier de 36 mm comme dans les versions précédentes, mais avec un design un peu plus massif et poli, ce qui personnellement rajeunit notablement la montre, avec un peu plus de présence au poignet de manière toujours élégante, car de 36 mm seulement…
L’Oris Big Crown Pointer Date est LA montre historique de Oris avec peu de changements esthétiques depuis la 2ème guerre mondiale.
En 1938, Oris développa sa complication dénommée « Pointer Date » consistant à indiquer la date au moyen d’une aiguille centrale pointant sur un calendrier peint en périphérie sur le cadran, cette montre était alors pourvue d’une petite seconde à 6h et une flèche sur une aiguille centrale pointait sur la date…
La Railmaster est un modèle créé par Omega en 1957, que je cite :
« Modèle spécialement étudié pour le personnel des chemins de fer et pour les hommes de science travaillant à proximité de champs magnétiques puissants. »
Sa particularité était de bien mieux résister aux champs magnétiques que nombre des montres de l’époque…
Pour cela, Omega avait adopté le principe d’une cage en fer doux entourant le mouvement et faisant office de cage de faraday, du type cercle d’emboîtage, cadran épais et calotte de protection, le tout en fer doux. Ainsi protégée, la Railmaster résistait à un champ magnétique de 900 Gauss.
Ce chronographe de marque Archimède est produit par Ickler en Allemagne.
Ickler est une entreprise familiale qui a 80 ans (fondée en 1924 par la famille Ickler), et est spécialisée dans la conception, réalisation (usinage) de boîtes de montres et autres pièces rentrant dans la constitution du corps de la montre. Dans les années 1990 il décida de créer sa propre marque LIMES et quelques années plus tard, en 2003, la marque ARCHIMEDE initialement spécialisée dans les modèles de type Flieger (pilot). Il réalise bien sûr tout l’usinage de la montre dans son usine en Allemagne ainsi que l’assemblage en équipant ses montres de mouvements suisses de type ETA 2824-2, VALJOUX 7750.
Je vous présente un petit chrono de la marque allemande Sinn 256.
Ce modèle n’est plus fabriqué aujourd’hui, sans doute relatif à son petit diamètre par rapport à la tendance actuelle.
Petit chrono de 38,5 mm de diamètre animé par le célèbre ETA 7750 dans son grade le plus haut, donc capable de performances chronométriques.
Je vous présente un chronoTissotPR516 au look typique des années 70. Il est motorisé par un calibre mécanique à remontage manuel dénommé Tissot 873 qui est en fait une base Lemania 1873 qui équipe également l’Omega Speedmaster Pro avec comme référence le calibre 861 lui même suivi d’une évolution le 861a puis le 1861 que l’on trouve encore actuellement dans les Speed Pro.
micromecamontres 